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L’équipe identifie la voie moléculaire qui permet aux roses de sentir bon

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Une équipe internationale de botanistes, de phytobiologistes et de biochimistes a trouvé une voie cruciale que les roses utilisent pour produire leur doux parfum familier. Dans leur étude, il a été rapporté dans Actes de l’Académie nationale des sciencesle groupe a tracé la voie qui permet aux molécules de liaison de produire les produits chimiques nécessaires pour créer le parfum associé aux roses.

Les roses sont une fleur préférée depuis de nombreuses années et les horticulteurs ont travaillé pour améliorer les aspects préférés des consommateurs, en créant des variétés de roses qui durent plus longtemps dans un vase, par exemple, ou qui ont des couleurs non naturelles. Un effet secondaire malheureux des roses en fleurs est la perte progressive de leur parfum aromatique unique. Dans ce nouvel effort, l’équipe de recherche a cherché à en savoir plus sur le processus impliqué dans la production et éventuellement la restauration du doux parfum des roses dans une floraison hybride.

Des recherches antérieures ont montré qu’un produit chimique appelé géraniol fait sentir les roses comme elles le font. Les rosiers fabriquent le produit chimique en utilisant une réaction qui implique une enzyme appelée farnésyl diphosphate (FPP) et d’autres enzymes, y compris l’hydrolase NUDX1, qui est produite à l’intérieur des cellules végétales. Il contient également le cytosol, qui se trouve dans les pétales de fleurs.

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Pour créer suffisamment de géranol, les plantes doivent produire beaucoup d’enzyme hydrolase NUDX1, ce qui ne peut se produire que s’il existe de nombreuses molécules de liaison appelées géranyl diphosphate (GPP). Ainsi, pour que la rose produise beaucoup de géranols odorants, les deux principales substances entrant dans sa composition devaient être créées à proximité l’une de l’autre, mais ce n’était pas le cas lorsque les chercheurs se sont penchés sur leur lieu de création. Cela indique qu’il y a un chemin manquant entre eux.

Pour trouver cette voie, l’équipe a choisi une plante spécifique, appelée Old Blush, une rose rose au parfum agréable. Ils ont fermé des voies potentielles dans différentes plantes, puis ont observé la quantité de géraniol qu’ils réussissaient à produire.Ils ont isolé une voie dans le cytosol de la plante et ont découvert qu’elle jouait un deuxième rôle – elle créait des composés liant le GPP qui, avec le GPP lui-même, a permis la production de géraniol.

Pour tester leurs découvertes, ils ont conçu un plant de tabac pour exprimer le FPP et ont découvert que cela conduisait à la production des deux enzymes, prouvant ainsi leur théorie. Le groupe a conclu que l’ingénierie des roses hybrides de manière similaire pourrait restaurer leur célèbre parfum.

Delphine Perrault

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