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Être bon en maths fait (en partie) partie de notre ADN

Que ce soit pour être bon ou non en mathématiques, la question est probablement enracinée dans nos gènes, mais cela devrait-il nous arrêter? Il y a souvent une sérieuse pierre d’achoppement en mathématiques lorsqu’on envisage une carrière en sciences. Certains sont passionnés de biologie, veulent être vétérinaires, travailler dans la chimie, l’ingénierie – ou même devenir pilotes de ligne – mais abandonnent à cause d’une allergie prononcée aux mathématiques, qui se traduit souvent par des angoisses qui maintiennent la conviction que cela ne peut être fait. Il est cependant possible de surmonter cet inconvénient, assure une étude australienne.

Qu’il y ait un facteur inné – et donc génétique – à la bosse des mathématiques est une thèse défendue par de nombreux scientifiques depuis des années. Après tout, si certaines personnes ont un don pour la musique ou la peinture, pourquoi pas pour les mathématiques?

Psychologues de l’Université Johns Hopkins (USA) se sont posé la question et établi un lien entre la prédisposition aux mathématiques chez les enfants de la maternelle et leur « Signification des nombres » (ANS pour les spécialistes). Cette capacité, qui n’est pas propre à l’espèce humaine, permet de déterminer des quantités en les observant. Ainsi, un animal pourra évaluer où il trouvera le plus de nourriture. « Nous les humains l’utilisons quotidiennement, pour estimer en un coup d’œil le nombre de places gratuites dans un cinéma ou le nombre de personnes dans une foule &

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Delphine Perrault

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