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Cat’s Cradle: Food Shroud dans ‘The French Dispatch’

« Ville d’astéroïdesest le dernier film du créateur Wes Anderson. Arrivé en juin, le réalisateur apportera son style décalé au sud-ouest américain. Le film semble jouer dans le classique d’Anderson. Style cinématographique De la configuration d’ingénierie et drame La structure de l’histoire est comme Kurt Vonnegut.

Ces caractéristiques se combinent avec le vif intérêt d’Anderson pour bâtiment du monde. des films comme « La vie aquatique avec Steve Zissou » Il imagine un contemporain apathique de Jacques Cousteau. « Hôtel Grand BudapestFonctionnalités imaginées Confiserie Reflétant l’inspiration européenne et le style pastel du film.

Ce niveau d’élaboration et d’hommage se retrouve à nouveau dans son film de 2021 « Expédition françaiseLe film se compose de cinq histoires dans le dernier numéro du roman Liberty, Kansas Soleil soir Journal, parodie Le new yorker. Chaque histoire se déroule dans l’Ennui-sur-Blasé fictif, France et va de Révoltes étudiantes pour Balades à vélo pour art en plein air.

La vraie fonctionnalité vient avec l’avant-dernière histoire, « La salle à manger privée du commissaire de police ». Il suit Roebuck Wright (joué par Jeffrey Wright), qui souhaite découvrir le chef de la police Nescavir. Mais avant que le dîner ne commence, le fils du commissaire est emmené otageLa nourriture joue un rôle majeur dans les négociations.

La nourriture a toujours été présentée chez Anderson’s Filmographie, bien qu’il ne l’avance jamais comme il le fait dans ce mémoire. Le film prend du temps pour réfléchir à la nourriture et pose la question que certains membres du public se posent : « Pourquoi manger? « 

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La question devient une note évidente dans le film lui-même. Wright est donné dans un James Baldwin– monologue élégant que la nourriture a toujours été là – c’est un compagnon.

La nourriture imprègne la vie, les récits et l’inspiration. Le film utilise la nourriture comme allégorie dans la vignette. Chaque plat d’un repas est servi, comme les chapitres d’une anthologie, pour compléter ce qui l’a précédé.

Le repas Nescafé devient un récit en soi, car les articles de sauvetage d’otages sont cuits dans le repas qu’ils servent. Cette idée est renforcée par le fait que chaque nouveau plat du repas est présenté sur un écran divisé en Scène de planification.

Le chef est entraîné dans l’événement principal alors qu’il prépare un repas empoisonné pour les ravisseurs, préparant des légumes délicats que le ravisseur refuse de manger. La scène souligne à nouveau l’importance de la nourriture alors que l’histoire atteint son apogée.

le Conclusion L’histoire est présentée comme un désert. Le chef Nescavir repense au repas qu’il a servi aux ravisseurs et se rappelle : le poison fait effet saveur. Non seulement il a sa propre saveur, mais aussi une saveur qu’il n’a jamais connue auparavant.

Le dernier moment soulève la possibilité de manquer quelque chose – de ne pas goûter pleinement ou de ne pas connaître la saveur – jusqu’à ce que la situation le permette. La nourriture, comme toute œuvre d’art, a des proportions inconnues.

L’art de la nourriture va au-delà de susciter une réponse physique. Il y a un festin mental, émotionnel et même spirituel dans la nourriture cachée dans un repas qui peut nous mettre au défi de grandir en tant qu’êtres. Embrasser l’art qui nous nourrit d’une manière qu’aucune chanson ou peinture ne peut le faire.

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« La dépêche française » est un film sur l’art. Qu’il s’agisse de l’art dans une prison, de l’architecture d’une ville, de l’invention d’une histoire ou de la technologie derrière le repas. Dans ce sens artistique, le film nous demande d’essayer quelque chose de différent. Prenez une nouvelle histoire et découvrez une nouvelle saveur dans la vie.

Benjamin Ervin est diplômé en littérature et écriture anglaises à l’Université de l’Ohio. Veuillez noter que les avis et opinions des chroniqueurs ne reflètent pas les points de vue et opinions des chroniqueurs positionR Voulez-vous en parler davantage? Dites-le à Benjamin en lui envoyant un e-mail à [email protected].


Juliette Deforest

"Évangéliste de télévision. Communicateur sans excuse. Fanatique de bacon primé. Accro de la nourriture en général."

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