Economy

La France promet de nouvelles priorités en tant que prochain président de la Commission de l’océan Indien

Si vous réussissez en affairesSe concentrer sur des domaines tels que le développement économique, l’amélioration de la sécurité maritime et la protection de l’environnement profiterait non seulement aux pays insulaires du sud-ouest de l’océan Indien, mais également à la région au sens large. Le HCR et l’Australie bénéficieraient de toute initiative de Canberra pour obtenir le statut d’observateur officiel auprès du groupe.

Contexte

Lors de l’acceptation de la présidence tournante tournante de la Commission de l’océan Indien (Commission de l’océan Indien, Ou COI), à 35 ansLe dixième Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Baptiste Lemoyne, représentant le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, a annoncé lors d’une réunion du cabinet, qui s’est tenue vers le 20 mai, la déclaration de Programme [in French] Il était «réaliste et adaptable à la région et à son emplacement dans les océans Indien et Pacifique».

Suspension

Fondée en 1982 et élargie en 1986, la Commission d’enquête rassemble les cinq pays francophones de la région sud-ouest de l’océan Indien: les Comores, Madagascar, Maurice, les Seychelles et la France (représentant outre-mer) DrLes catégories Réunion et Mayotte, ainsi que les territoires du sud de la France et l’Antarctique). Plus d’un million de Français vivent dans le Grand Sud-Ouest de l’Océan Indien.

Au fil du temps, le nombre d’observateurs COI est passé à sept: la Chine, l’Union européenne, l’Inde, le Japon, l’Organisation internationale de la Francophonie, les Chevaliers souverains de Malte et les Nations Unies.

Le COI a son siège dans la capitale de Maurice, Port Louis, tout comme l’Indian Ocean Edge Association (IORA), et Future Directions International suggère que tant la Commission d’enquête que l’Australie bénéficieraient de toute initiative de Canberra pour obtenir le statut d’observateur officiel auprès le groupement idéalement dirigé par la Commission australienne, Conseil suprême de Maurice, le statut d’observateur a le potentiel de continuer à s’appuyer sur les relations solides actuelles de l’Australie avec la France et Maurice, en tant que membres du Comité international olympique et avec d’autres observateurs.

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Le mandat général du jury s’harmonise bien avec les aspirations de politique étrangère de l’Australie à promouvoir le développement régional par une solidarité historique et culturelle commune, étayée par le respect de la souveraineté nationale et une gouvernance transparente. À l’échelle la plus large, les activités de COI sont concentrer sur:

  • Stabilité et sécurité, notamment dans le domaine maritime;
  • L’intégration économique des États insulaires, notamment par la promotion de l’économie bleue;
  • Préserver l’environnement et gérer les risques climatiques et environnementaux.
  • Une coopération saine;
  • Coopération scientifique et universitaire.

Sous la présidence française, celui-ci sera encore affiné en mettant l’accent sur les quatre priorités suivantes:

  • Sécurité maritime et économie bleue;
  • Résilience climatique et réduction des risques de catastrophe;
  • Développement économique, y compris la promotion de l’esprit d’entreprise grâce à un dialogue accru avec le secteur privé et des partenariats multisectoriels et multipays;
  • Mobilité accrue, en particulier pour les étudiants, les universitaires et les entrepreneurs.

Selon M. Lemoyne, l’approche française est «ambitieuse mais réaliste» et le sera supporté par Renforcement institutionnel du comité d’enquête, Utilisation et promotion de la langue française et mesures inclusives qui impliquent et profitent à la population locale.« 

Paris se considère comme un «  voisin et partenaire des pays de l’océan Indien  », avec Paris – qui a financé 40% du budget de la Commission des pêches, avec près de 36 millions d’euros depuis 2018 – finançant également le savoir-faire technologique, les entreprises et opportunités éducatives. Plusieurs centaines d’entreprises françaises opèrent dans la région, et chaque année, plus de 800 étudiants d’autres pays COI étudient à La Réunion.

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Bien que la mise en œuvre de la quatrième priorité puisse être quelque peu retardée, compte tenu de la situation sanitaire mondiale, si des mesures fructueuses sont prises, les pays COI devraient voir au moins certains avantages à se concentrer sur les priorités susmentionnées, peut-être en particulier en termes de développement économique, et l’amélioration du transport maritime. Protection et sécurité de l’environnement. Bien entendu, ces résultats profiteront non seulement aux pays insulaires eux-mêmes, mais également à l’ensemble de la région.

Beaumont-Lefebvre

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