science

L’Agence spatiale européenne envisage d’envoyer des astronautes dans une station spatiale privée

L’Agence spatiale européenne (ESA) a conclu un accord avec Airbus et Voyager Space pour construire et exploiter la station spatiale privée Starlab, ouvrant la voie au maintien des astronautes européens dans l’espace après son déclassement sur la Station spatiale internationale (ISS), a rapporté l’AFP. . .

« Cet accord reflète l’engagement de l’ESA à permettre une transition en douceur de la Station spatiale internationale vers une infrastructure humaine et robotique fonctionnant de manière durable en orbite terrestre basse après 2030, y compris par le biais de services commerciaux », a expliqué l’agence dans un communiqué publié jeudi.

Le protocole d’accord entre l’Agence spatiale européenne et la société européenne et américaine a été signé lors du Sommet spatial de Séville. Il envisage « l’accès à Starlab pour l’ESA et ses États membres pour les missions d’astronautes et les activités de recherche de longue durée », des contributions à des projets scientifiques, notamment dans les sciences de la vie et la robotique, et la création d’un « écosystème général » pour garantir que la station « peut « Il accueille un futur vaisseau spatial habité ou cargo développé par l’Agence spatiale européenne ».

Starlab devrait être mis en orbite en un seul lancement d’ici 2028. La station mesurera 8 mètres de diamètre, soit près de deux fois le diamètre de la Station spatiale internationale et la moitié de sa taille.

La société américaine Voyager Space a reçu 160 millions de dollars de la NASA pour développer la station.

En août, Voyager Space a créé une coentreprise avec Airbus, Starlab Space, pour construire et exploiter la station.

READ  Le télescope spatial James Webb vient de mesurer le taux d'expansion de l'univers. Les astronomes sont confus. Alerte scientifique

Le 1er octobre, l’Agence spatiale européenne a signé un accord similaire avec Axiom Space, qui développe également une station avec le soutien de la NASA et la participation de la société franco-italienne Thales Alenia Space.

Delphine Perrault

"Solutionneur de problèmes extrêmes. Chercheur avide de bacon. Écrivain maléfique. Geek du Web. Défenseur des zombies depuis toujours."

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page
Fermer
Fermer