science

il ne diminue plus dans les hôpitaux de la région, le Rhône est toujours très touché

Service de soins intensifs du Professeur Jean-Christophe Richard (unité Covid-19), à l’hôpital de la Croix-Rousse, à Lyon (© MAXPPP / PHOTOPQR / LE PROGRES / Joël PHILIPPON)

La pression hospitalière reste forte ce lundi soir dans les hôpitaux de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Le nombre de patients suivis pour le covid-19 dans les hôpitaux ne diminue plus. Le Rhône est toujours le département de France avec le plus de patients malades dans ses hôpitaux.

Plus de 4500 personnes sont hospitalisées à la suite du covid ce lundi soir dans la région. Dont 500 en soins intensifs.

Le département du Rhône, avec plus de 1 100 patients hospitalisés, reste le département le plus touché de France lors de cette deuxième vague.

Les résultats ce lundi 14 décembre au soir dans les hôpitaux de la région:

  • 4 592 personnes sont actuellement hospitalisées (+5 en 48 heures). Pic de la 1ère vague: 3 055 patients le 6 avril. Pic de la vague 2: 7 200 patients le 16 novembre
  • 179 nouvelles hospitalisations en 24 heures
  • 502 personnes en unité de soins intensifs (+4 en 48 heures)
  • 33 nouvelles admissions en réanimation en 24 heures
  • 65 nouveaux décès en 24 heures
  • 6033 décès depuis le début de l’épidémie

Les résultats ce lundi 14 décembre au soir dans les hôpitaux du Rhône:

  • 1145 personnes sont actuellement hospitalisées (+1 en 48 heures)
  • 52 nouvelles hospitalisations en 24 heures
  • 148 personnes en unité de soins intensifs (+5 en 48 heures)
  • 12 nouvelles admissions en soins intensifs en 24 heures

Lisez aussi: Coronavirus: dans la région, un quart des patients hospitalisés ont moins de 70 ans

READ  Une nouvelle étude révèle que la fibromyalgie induite par les anticorps offre l'espoir d'un traitement efficace attendu depuis longtemps

Delphine Perrault

"Solutionneur de problèmes extrêmes. Chercheur avide de bacon. Écrivain maléfique. Geek du Web. Défenseur des zombies depuis toujours."

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page
Fermer
Fermer