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La modification du mode de vie peut réduire le fardeau des maladies inflammatoires de l’intestin | Les dernières nouvelles pour les médecins, les infirmières et les pharmaciens

L’adhésion à un mode de vie globalement sain semble prévenir un grand pourcentage d’accidents vasculaires cérébraux
Maladie inflammatoire de l’intestin (IBD), y compris la maladie de Crohn (MC) et la colite ulcéreuse (CU), comme indiqué dans une étude.

L’étude a utilisé les données de la Nurses’ Health Study (NHS ; n = 72 290), de la NHSII (n = 93 909) et de la Health Professionals Follow-up Study (HPFS ; n = 41 871). Les chercheurs ont créé des scores de risque ajustables (MRS ; 0-6) pour la MC et la CU compatibles avec des facteurs de risque spécifiques au mode de vie, ainsi que des scores de mode de vie sain (HLS ; 0-9) obtenus à partir des recommandations américaines sur le mode de vie sain.

Les résultats ont ensuite été validés en externe dans trois cohortes européennes : une cohorte radiographique suédoise (n = 37 275), une cohorte d’hommes suédois (n = 40 810) et l’Enquête prospective européenne sur le cancer et la nutrition (n = 404 144).

Au total, 346 cas de MC et 456 cas de CU sont survenus au cours des 5 117 021 années-personnes de suivi (NHS, HPFS : 1986-2016 ; NHSII : 1991-2017). Les taux d’incidence correspondants de la MC et de la CU étaient de sept et neuf cas pour 100 000 personnes-années.

Les estimations ont montré que l’adhésion à un MRS bas aurait pu prévenir 42,9 % (intervalle de confiance à 95 %). [CI]12,2–66,1) des MC et 44,4 % (IC à 95 %, 9,0–69,8) des cas de CU, tandis que l’adhésion à un mode de vie sain aurait pu prévenir 61,1 % (IC à 95 %, 16,8–84,9) des MC et 42,2 % (95e centile IC, 1,7-70,9) des cas de CU.

Les résultats ont été reproduits dans des cohortes de validation, où l’adhésion à un faible SMR et à un mode de vie sain pourrait, respectivement, prévenir 43,9 à 51,2 % et 48,8 à 60,4 % des cas de MC et 20,6 à 27,8 % et 46,8 à 56,3 % des cas de MC. .

Des études d’intervention prospectives supplémentaires sont nécessaires pour confirmer si la modification du mode de vie joue un rôle dans la prévention primaire des MII, en particulier chez les populations plus jeunes à risque.

Delphine Perrault

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