«On ne sait pas quoi faire de l’esprit», Ibanez évoque le cas Chalureau
Le sélectionneur de l’équipe nationale des Bleues s’est exprimé sur la possibilité d’entrer en match contre l’Uruguay, en deuxième ligne de Montpellier, au cœur d’une vive polémique après avoir condamné des actes de violences et des insultes racistes.
Une nuit
Après un énorme succès en ouverture contre les All Blacks, les Bleus ont remporté le match (21 heures), leur deuxième match de Coupe du Monde, face à l’Uruguay au stade Pierre Mauroy de Lille. A cette occasion, le deuxième ligne montpelliérain, Bastien Chalauro, s’est rendu au banc des remplacements et a réussi à entrer dans le jeu de « Tiros » (nom uruguayen). Juste avant le début de la compétition, le joueur du MHR, licencié du Stade Toulousain, s’est engagé dans une vive lutte pour sa présence en France, après sa condamnation en novembre 2020 pour faits de violences et injures. Caractère raciste. Une décision ne fait pas d’appel et elle peut être rajeunie en novembre.
Plus d’informations sur le soutien du groupe France, dirigé par le capitaine Antoine Dupont. L’entraîneur de l’équipe de France, Rafael Ibañez, déclare ceci avant le match contre les Juifs : « Le monde entier est mis à l’épreuve sur le sujet de la semaine dernière, Bastien Lewis lui-même. Il est constitué en tant que joueur professionnel et fait partie de l’ensemble complet. Je n’ai aucune information privée (Sur l’accueil qu’il va recevoir) Cela ne passe pas le même esprit.
Et une longue expérience internationale : «Eh bien, ce que nous considérons vraiment, c’est que nous pouvons explorer tout notre potentiel, avec notre énergie, et nous pouvons confirmer que la motivation est très forte pour répondre à l’intérêt du groupe et de l’équipe. C’est le défi d’être présent (Judy).» C’est la deuxième fois que l’entraînement général est ouvert au camp de base des Français à Rueil-Malmaison, et la séance de consécration qui suivra, Rhian de Bartillier n’est plus terminée. Aux portes du secteur public…