Economy

Macron attend des « clarifications » de Biden sur le différend sous-travail

Le bureau de Macron a déclaré que le président français Emmanuel Macron attendait « des clarifications et des engagements clairs » du président américain Joe Biden lors d’un appel plus tard mercredi pour régler un différend sous-marin.

Le bureau de Macron a déclaré que l’appel, demandé par Biden, visait à discuter de la « crise de confiance » qui a conduit à Convocation inédite de l’ambassadeur de France aux États-Unis la semaine dernière.

Le communiqué indique que Macron s’attend à des éclaircissements sur l’option américaine de distancer un allié européen des principaux échanges sur la coopération indo-pacifique.

Biden a annoncé la semaine dernière le pacte de défense indo-pacifique entre les États-Unis, l’Australie et la Grande-Bretagne, la France n’ayant été officiellement notifiée que quelques heures plus tôt, selon des diplomates français. L’accord verra l’Australie Annulation d’un contrat de plusieurs milliards de dollars acheter des sous-marins diesel-électriques français et acquérir à la place des navires américains à propulsion nucléaire.

La France veut qu’on reconnaisse que les pourparlers entre alliés auraient dû avoir lieu avant la conclusion de l’accord, et qu’il soulève « une question de confiance sur laquelle nous devons recueillir toutes les conséquences », selon le bureau de Macron.

Le bureau de Macron a déclaré que Paris appelait à « des actions, pas seulement des paroles », y compris « la pleine reconnaissance par notre allié américain de la nécessité de renforcer la souveraineté européenne et de l’importance d’une plus grande implication européenne dans la défense et la sécurité ».

La France veut également réaffirmer « l’engagement commun dans la lutte contre le terrorisme ».

Le porte-parole du gouvernement français, Gabriel Attal, a déclaré que la question avait été soulevée par Macron lors d’une réunion hebdomadaire du cabinet mercredi. Atal a déclaré que l’appel avec Biden visait à clarifier « les termes du réengagement américain dans une relation entre alliés ».

Les partenaires européens de la France ont convenu mardi de régler le différend En tête de l’agenda politique du blocy compris le sommet de l’UE le mois prochain.

La présidence française a catégoriquement démenti un rapport publié mercredi par le journal britannique Daily Telegraph, qui affirmait que Macron pourrait offrir le siège permanent de son pays au Conseil de sécurité de l’ONU à l’Union européenne si le bloc soutient ses plans pour défendre l’Union européenne. .

Le Premier ministre britannique Boris Johnson a rejeté la colère française face à l’accord sur les sous-marins, affirmant que les responsables français devraient « prendre le contrôle ». Il a ajouté qu’en utilisant des mots français et anglais, elle devrait lui donner une « pause ».

S’adressant aux journalistes lors d’une visite à Washington, Johnson a déclaré que l’accord « représente essentiellement un pas en avant majeur pour la sécurité mondiale. Ce sont trois alliés aux vues similaires qui se tiennent côte à côte, créant un nouveau partenariat pour partager la technologie ».

« Ce n’est pas exclusif. Elle n’essaie de supporter personne. Elle n’est pas hostile envers la Chine, par exemple. »

L’accord est largement considéré comme faisant partie de l’effort américain pour contrer une Chine plus affirmée dans l’Indo-Pacifique.

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Jill Lawless a contribué à cette histoire depuis Londres.

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Beaumont-Lefebvre

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