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Sur Netflix, Agnès Varda dans six films distincts

Alors que le cinéma présente une rétrospective de ce jour, Netflix propose six œuvres d’un cinéma révolutionnaire dans le nouveau monde de The Mist. De quoi ravir ses fans comme les débutants.

Dans « Les Plages d’Agnès », sorti en 2008, Agnès Varda met en scène ses souvenirs comme un parcours de peintures surréalistes. Cinéma Tamaris

Publié le 14 octobre 2023 à 18h00

netflix enrichit aujourd’hui encore son catalogue de joyaux cinématographiques, en proposant des classiques imbattables dans ses abonnés. Preuve avec Agnès Varda. En six chapitres, le tableau rend hommage à l’un des plus grands films historiques de l’histoire. Véritable recueil du cinéma mondial, de la libre pensée et de la curiosité irrésistible, il s’agit aussi bien de ce bon film patriotique que d’être une leçon de cinéma, une leçon de vie.

Varda, Féminisme : « Cléo de 5 à 7 » (1962)

Un chant maussade à Paris, accompagnant le résultat de la biopsie. Une trente heures de Laquelle Cléo (Pulversant Corinne Marchand) Apprend l’empathie. Jamais Varda n’est pas trop proche de l’univers des deux princesses Demi.

Varda, Scandale : « Le Bonheur » (1965)

François et Thérèse sont heureux. Mme François crée autre chose… La définition du bonheur réside dans la beauté des projets, composés avec beaucoup de grâce et d’humeur. Dans une robe à fleurs, Agnès Varda dresse un tableau de joie.

Varda, Humanisme : « Sans toit ni loi » (1985)

C’est plein de nourriture frite dans une fosse. Commentaire : est-ce à cela que vous arrivez ? Une collection de souvenirs sera conçue pour nous et d’autres du dernier voyage de Mona la routarde. Un film courageux sur le XXe siècle. Avec Sandrine Bonnaire dans la peau.

Varda, L’amour de l’art des années 70 : « Les Cent et une nuits de Simon Cinéma » (1994)

Monsieur Cinéma 100 ans. Une étudiante engagée dans le travail de ses mémoires ratées… Agnès Varda joue de son amitié au travail pour transformer cette œuvre poétique commémorative en un catalogue international. Le résultat est injuste et amusant.

Varda, la glaneuse d’images : « Les Glaneurs et la glaneuse » (2000)

Une partie du mot « aperçu », charmant et attirant, aucune définition de film dans une bite avec un appareil photo numérique, Varda silencieuse de France à la recherche de toutes formes de lunettes, de miroirs sans avoir aucune trace dans la cache à proprement parler – Mimi.

Varda, Le goût des autres : « Les rivages d’Agnès » (2008)

Cinq minutes après son début, le cinéma revient dans ses souvenirs et repart dans un carrosse rapide et festif. Un biopic innovant et courageux.

Juliette Deforest

"Évangéliste de télévision. Communicateur sans excuse. Fanatique de bacon primé. Accro de la nourriture en général."

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