La fusée lunaire géante d’Artémis
Le missile qui sera lancé[{ » attribute= » »>NASA’s Orion spacecraft with the European Service Module to the Moon has been moved to the launchpad in Florida, USA, for its first full test before the Artemis I launch later this year.
The Space Launch Systems rocket (SLS), with Orion atop it, left the Vehicle Assembly Building at NASA’s Kennedy Space Center at around 23:00 CET (22:00 GMT) on March 17 to begin its 6.5 km trip to Launchpad LC39B.
The first Artemis mission will send Orion to the Moon and back, farther than any human-rated spacecraft has traveled before. ESA’s European Service Module is the powerhouse that fuels and propels Orion and provides everything needed to keep astronauts alive, including water, oxygen, power, and temperature control.
L’une des nombreuses étapes qui ont précédé le lancement d’Artemis est son lancement : c’est à ce moment que le robot transporte la fusée SLS avec Orion et ESM du bâtiment d’assemblage de véhicules à la rampe de lancement 39B. John Giles de la NASA nous fait visiter le robot d’exploration et explique les modifications qui ont été apportées à cette « magnifique pièce de machinerie » depuis sa première construction pour le programme Apollo dans les années 1960. L’Agence spatiale européenne joue un rôle clé dans le programme Artemis de la NASA, qui ramènera des astronautes sur la Lune. Le module de service européen – ou ESM – assurera la propulsion, la puissance et le contrôle thermique du vaisseau spatial Orion. Crédit : ESA – Agence Spatiale Européenne
Un voyage court mais long
Alors que la fusée Orion est propulsée à des vitesses supersoniques, la fusée elle-même se déplace lentement mais en toute sécurité vers la rampe de lancement. Se déplaçant à une vitesse maximale de seulement 1,3 km/h, le trajet de 6,5 km a duré près de 12 heures sur un véhicule à chenilles spécialement conçu.
Le lancement d’Orion et de l’ESM en orbite terrestre et sur la Lune nécessite une énorme quantité d’énergie et l’échelle de la fusée lunaire massive du SLS est difficile à transmettre en images.
À 100 mètres, c’est à peu près la hauteur de la tour Elizabeth (Big Ben) à Londres, au Royaume-Uni, ou 16 girafes empilées les unes sur les autres. Si vous posiez le missile au sol, il faudrait plus d’une minute pour marcher des moteurs à la pointe du système d’abandon de lancement.
nous allons
« Voir la fusée complète sur la rampe de lancement avec les logos de l’ESA et de la NASA sur le pont est un spectacle merveilleux », déclare Pierre Boisfert de l’ESA sur le site, « de penser que l’ESO est là, prêt à faire fonctionner un vaisseau spatial classé humain. « Vers la lune et retour est un moment émouvant.
« Beaucoup d’entre nous dans l’équipe de l’ESA ont travaillé pendant des années avec nos partenaires de la NASA sur ce vaisseau spatial, et pour le voir sur la rampe de lancement le ramener à la maison, nous nous dirigeons vers la lune ! »
La première mission Artemis se fera sans astronautes, mais elle inclura deux mannequins pour planifier le rayonnement reçu lors du vol dans l’espace lointain.
Pendant ce temps, les deuxième et troisième missions Artemis sont en cours de préparation pour leur lancement. L’ESU II subit des contrôles de pression pour s’assurer que les soudures qui la relient au reste de l’engin spatial Orion ont été réalisées correctement. Ce module de service alimentera la première mission Artemis autour de la Lune.
La troisième unité de service européenne est en cours de construction à Brême, en Allemagne, après l’arrivée du châssis de Turin, en Italie. Les techniciens du hall d’intégration d’Airbus ont commencé à poser des kilomètres de câbles électriques, la base du partage d’informations et de l’envoi de commandes sur le vaisseau spatial avancé Orion. C’est l’honneur d’opérer la mission Artemis III qui enverra des astronautes à la surface de la Lune pour la première fois en plus de 60 ans.
Le vaisseau spatial Orion équipé du module de service européen volera plus loin de la Terre que n’importe quel vaisseau spatial classé humain auparavant. Cette vidéo donne un aperçu de la première mission – sans astronautes – d’Artemis, en se concentrant sur le module de service européen de l’Agence spatiale européenne qui exploite le vaisseau spatial. Crédit : ESA – Agence Spatiale Européenne