Horreur à la frontière avec la Grèce ! Des files d'attente de 5 km à la frontière…
Les voyages touristiques sont devenus un enfer ces deux derniers jours
La circulation au poste de contrôle de Culata-Bromahon a été témoin d'embouteillages au cours des trois derniers jours. Les embouteillages et les embouteillages tourmentent les conducteurs même dans les gorges de Krishna. Cela est dû au fait que notre voisin du sud est devenu une destination de vacances d'été recherchée non seulement pour les Bulgares, mais aussi pour les Roumains.
Les voyages touristiques sont devenus un enfer ces deux derniers jours. L'attente varie à différents moments d'une heure et demie à trois heures, mais à une température de 40 degrés. La file de voitures avait déjà commencé ce week-end. La colonne atteignait parfois 5 km. Tous les compteurs fonctionnent dans la tour, mais pas les autorités frontalières. Des centaines de milliers d'habitants de Sofia ont quitté Sofia et se sont rendus en Grèce pendant le week-end, et des milliers étaient également des habitants de Berenskoe, qui passent généralement leurs week-ends au bord de la mer Blanche, rapporte Trud.
Des embouteillages se sont également formés dans les gorges de Kresnin, qui ne pouvaient pas accueillir le flux de voitures. Les colonnes partaient de l'auberge Kresnen. La circulation s'est même arrêtée en raison de l'afflux de voitures. Le même cauchemar se déroulait dans la direction opposée, de la Grèce à la Bulgarie. Là aussi, les files d'attente agaçaient les conducteurs.
Le dimanche, une file d'attente se forme même au poste de contrôle tranquille « Ilinden-Eksohi », près de Gotse Delchev. Les habitants commentent vivement les embouteillages sur les réseaux sociaux. Tout le monde insiste sur le fait que Schengen par voie terrestre améliorera la situation et maudit littéralement les Verts pour le retard d'AM Struma dans la section la plus difficile du détroit de Kresnine.
Koulata-Promahon est déjà devenue bien connue dans les Balkans comme la frontière la plus difficile à traverser, et les Roumains ont commencé à chercher des itinéraires alternatifs via la Serbie et la Macédoine. Quelle que soit la rapidité avec laquelle les autorités agissent, les retards proviennent également de l'étroit pont frontalier entre la Bulgarie et la Grèce, qui constitue un goulot d'étranglement. Mais ils n'ont pas refusé de se reposer chez notre voisin du sud.