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Discussion sur le combat : des supporters irlandais confiants affluent au Stade de France avant le quart de finale de la Coupe du monde de rugby

Les supporters irlandais applaudissent dans les tribunes avant le quart de finale de la Coupe du monde de rugby France 2023 entre l'Irlande et la Nouvelle-Zélande au Stade de France à Saint-Denis, en banlieue parisienne, le 14 octobre 2023. (Photo de Frank Fife/ AFP)

Les supporters irlandais applaudissent dans les tribunes avant le quart de finale de la Coupe du monde de rugby France 2023 entre l’Irlande et la Nouvelle-Zélande au Stade de France à Saint-Denis, en banlieue parisienne, le 14 octobre 2023.
image: Frank Fife/AFP

C’est l’affrontement que nous attendions tous : les triples champions du monde contre l’équipe numéro un au monde.

La rédemption est certainement dans l’esprit des fans des All Blacks après la défaite de l’année dernière à domicile contre l’Irlande, tandis que les Men in Green seront déterminés à prouver qu’ils sont la vraie affaire en atteignant les demi-finales pour la première fois. .

Le match très attendu a débuté à 21 heures à Paris (8 heures NZT) au Stade de France, mais les supporters ont commencé à affluer vers le stade dès 15 heures.

Les maillots abondent, le vert émeraude étant la couleur dominante de la foule, mais les fans des All Blacks font connaître leur présence.

Coupe du monde de rugby 2023 : All Blacks contre Irlande – toute l’action depuis Paris

Phil Cron, né à Christchurch, réside désormais au Canada, mais a fait le voyage à Paris pour soutenir son équipe préférée.

« Ils n’ont pas joué aussi bien que nous aimerions les voir jouer, ils doivent être cohérents, garder le carton rouge à l’écart, ne perdre personne mais garder le rythme. »

Fans de rugby à Paris.

Phil Crone (deuxième à droite).
image: Tiffany Salmond/RNZ

Kiwi Hayden Holmes vit à York, en Angleterre, mais est toujours un grand fan des All Blacks.

« La Nouvelle-Zélande est 13e. Grosse décision, mais elle va les battre durement. »

Holmes ne se sent pas non plus en phase d’être entouré d’une mer de verdure.

« Ils sont très gentils, n’est-ce pas ! Je ne pense pas que je vais me battre avec eux. Ils aiment chanter, donc tout va bien. »

Fans de rugby à Paris.

Hayden Holmes (à droite).
image: Tiffany Salmond/RNZ

Repérer un fan des All Blacks dans la foule, c’était comme jouer à la place de Wally, alors que les Irlandais dominaient le Stade de France.

Le fan irlandais Brian Halliday est venu de Londres pour participer à l’événement.

« Je pense que c’est la première fois depuis de nombreuses années que nous avons une chance décente d’accéder à un stade ultérieur du tournoi et même de le gagner, donc l’enthousiasme s’est emparé de la nation. »

Fans de rugby à Paris.

Brian Hallidaway (à droite).
image: Tiffany Salmond/RNZ

Niall Cissé est arrivé hier soir d’Irlande avec la certitude que son équipe entrera dans l’histoire.

« McHansen sera un hurleur absolu, il marquera environ deux essais, l’Irlande essuiera le sol et la Nouvelle-Zélande pansera ses blessures, à la recherche d’un Kleenex à la fin du match. »

Lorsqu’on lui a demandé ce qu’il pensait des All Blacks, il n’a pas hésité.

« Ils sont là toute la journée, ils sont là pour voir à quoi ressemble cette partie de la France, ils vont jeter un coup d’œil mais l’Irlande va gagner. »

Fans de rugby à Paris.

Niall Sissi.
image: Tiffany Salmond/RNZ

L’énergie qui règne au Stade de France ne peut être décrite que comme un mélange d’excitation et d’attente tendue. C’est la vie ou la mort pour les deux équipes car leur réputation est en jeu.

Astor Abel

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