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Deux sociétés vont contester les allégations de fraude de plusieurs millions d’euros par la star de cinéma française Danny Boone – The Irish Times

La Cour suprême a entendu un procès intenté contre deux sociétés par la star de cinéma française Danny Bon dans un procès prétendant être victime d’une fraude de plusieurs millions d’euros afin de contester les ordonnances de gel émises à leur encontre.

Les avocats représentant Asia Monaco Investments Ltd, qui a son siège social à Millers Square, Lusk Village, Lusk, Co Dublin et Asia Monaco SARL, qui est enregistrée dans la Principauté de Monaco, ont déclaré mercredi à la Cour suprême qu’ils avaient l’intention de demander un changement dans les ordonnances de gel. contre la Société, pour leur permettre de défendre pleinement les réclamations de M. Boone à leur encontre.

Les deux sociétés faisaient partie des cinq sociétés ajoutées à la procédure en tant que défendeurs dans un procès intenté par M. Boone.

M. Boone affirme que toutes les sociétés sont liées et contrôlées par Thierry Vialk Perlis, la personne que la star de cinéma prétend être à l’origine de la fraude commise à son encontre.

En juillet, M. Boone a obtenu une ordonnance de gel de la Cour suprême empêchant M. Vialek Perls alias Terry Perls alias Terry Waterford-Mandeville et plusieurs personnes morales qu’il contrôlerait ou serait le bénéficiaire effectif ultime de réduire leurs actifs en dessous de 6 millions d’euros. .

Boone a également obtenu diverses ordonnances de divulgation demandant aux accusés de lui fournir divers documents, dans le but de déterminer où était allé son argent.

Ordonnances de gel contre South Sea Merchants Mariners (SSMM) Limited Partnership, Hibernian Petroleum Limited Partnership, United Irish Estates Limited et Hibernian Yachts Company Limited, toutes entités enregistrées en Irlande, et United Far East Oriental Holdings enregistrée à Samoa) Ltd, que M. Boon qu’ils sont tous liés à M. Birles et à la fraude commise contre lui.

Plus tôt ce mois-ci, des ordonnances similaires de gel et de divulgation ont été obtenues contre cinq nouveaux accusés, dont Asia Monaco Investments et Asia Monaco SARL.

Les trois autres sociétés sont American Sail & Motor Navigation Inc, enregistrée aux États-Unis, Amalgamated Plantations Company Ltd, enregistrée dans les îles Vierges britanniques, et Sail & Motor Navigation Company Limited à Antigua-et-Barbuda.

Lorsque l’affaire a été renvoyée à M. Brian O’Mor mercredi, Rosa Fanning, au nom de M. Boone, a déclaré que des avocats s’étaient inscrits auprès d’Asia Monaco et d’Asia Monaco Investments, et que certains documents, notamment des informations financières, avaient été soumis à l’avocat de son client. .

L’avocat a déclaré que les avocats représentant M. Boone et les deux sociétés avaient besoin de temps pour se pencher sur les questions.

L’avocat a déclaré que sa partie n’avait rien entendu des trois autres accusés et qu’ils n’étaient pas représentés dans la procédure.

M. Fanning a ajouté que son client avait l’intention de demander un jugement contre les accusés non représentés dans la procédure et les accusés dont les avocats ont été révoqués.

L’avocat a déclaré que ces dernières parties avaient effectivement pris la décision de ne pas faire appel de l’action de M. Boone contre elles.

Le juge a convenu qu’Asia Monaco et Asia Monaco auraient besoin de temps pour déposer une demande de modification de leur ordonnance de gel.

En ce qui concerne ces accusés, le tribunal a continué à rendre des ordonnances provisoires rendues à leur encontre

Le juge a également accepté de maintenir les diverses ordonnances, qui resteront en place en attendant le résultat final de l’audience complète de la demande de M. Boone, contre tous les autres accusés.

L’affaire doit comparaître devant le tribunal plus tard cette semaine.

Le juge a ajouté que la demande de condamnation des accusés à ne pas faire appel des procédures sera examinée le mois prochain.

Dans son travail, M. Boone affirme être victime « d’une escroquerie élaborée à dimension internationale ».

Il est allégué qu’au cours de l’année écoulée, il a fourni des fonds à des entités liées à M. Perls, qui se serait présenté comme un « gentleman irlandais d’une famille noble » et un avocat maritime expert.

M. Boone affirme que, sur les conseils de Perls, il a investi 4,5 millions d’euros de son argent via SSMM dans un stratagème avec la Banque centrale d’Irlande.

M. Perls lui aurait dit qu’elle payait 3,25 % d’intérêts annuels non imposables.

M. Boone a découvert plus tard qu’un tel stratagème n’existait pas et, malgré de nombreuses demandes, ne lui avait pas été restitué.

M. Boone affirme également avoir versé 2,2 millions d’euros supplémentaires, par l’intermédiaire de SSMM, pour couvrir les frais d’exploitation d’un yacht, mais il ne sait pas encore combien de cette somme a été détournée.

En juillet, un juge a accordé à M. Boone une ordonnance de gel ou une injonction Mariva empêchant les défendeurs de réduire, transférer ou dissiper l’un de leurs actifs, y compris un voilier et une maison à Cork, d’une valeur inférieure à 6 millions d’euros.

M. Perls, un ressortissant français de 30 ans, aurait commis la fraude en utilisant un réseau d’entreprises qu’il semblait avoir créées en Irlande et dans d’autres juridictions, quelqu’un utilisant divers pseudonymes.

M. Perls avait nié les allégations et avait initialement indiqué qu’il ferait appel du procès, mais avait ensuite renvoyé son avocat et choisi de ne pas participer à la procédure.

Juliette Deforest

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