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Ce n’est pas ce que vous savez, c’est ce que vous pensez savoir – pourquoi la science peut attiser des attitudes fortes et dissidentes

Débat intense sur le concept

Les chercheurs étudient pourquoi certaines personnes ont des attitudes fortes envers la science tandis que d’autres sont plus neutres.

Une enquête auprès de plus de 2 000 adultes au Royaume-Uni a identifié les dangers potentiels de la communication scientifique.

Pourquoi les gens ont-ils des attitudes très différentes envers la science bien documentée ? Pendant de nombreuses années, les chercheurs se sont concentrés sur ce que les gens savent de la science, estimant que « connaître la science, c’est l’aimer ». Mais les gens qui pensent connaître la science aussi En fait connaître les sciences ? Une nouvelle étude publiée le 24 janviery Dans Journal en libre accès Biologie PLUS Écrit par Christina Fonseca de la UK Genetics Society; Lawrence Hirst du Milner Center for Evolution de l’Université de Bath, Royaume-Uni ; et ses collègues, que les personnes ayant des attitudes fortes ont tendance à croire qu’elles comprennent la science, tandis que les neutres sont moins confiants. Dans l’ensemble, l’étude a révélé que les personnes qui ont de fortes attitudes négatives envers la science ont tendance à être trop confiantes dans leur propre niveau de compréhension.

Qu’il s’agisse de vaccins, du changement climatique ou d’aliments génétiquement modifiés, la science socialement importante peut susciter des attitudes puissantes et contradictoires. Comprendre comment la science est communiquée nécessite de comprendre pourquoi les gens peuvent adopter des positions si différentes sur la même science fondamentale. La nouvelle étude a interrogé plus de 2 000 adultes au Royaume-Uni, les interrogeant sur leurs attitudes envers la science et leur croyance en leur propre compréhension. Certaines analyses antérieures ont montré que les personnes négatives à l’égard des sciences ont tendance à avoir une connaissance relativement faible des manuels scolaires, mais une forte confiance en leur propre compréhension. Avec cette idée comme base, l’équipe a entrepris de se demander si une forte confiance en soi sous-tend toutes les positions fortes.

L’équipe s’est concentrée sur la génétique et a posé des questions d’attitude, telles que : « Beaucoup d’affirmations sur les avantages de la génétique moderne sont grandement exagérées. » Les gens peuvent dire à quel point ils sont d’accord ou en désaccord avec une telle affirmation. Ils ont également posé des questions sur leur degré de compréhension d’une telle science, notamment : « Quand vous entendez le terme[{ » attribute= » »>DNA, how would you rate your understanding of what the term means.” All individuals were scored from zero (they know they have no understanding) to one (they are confident they understand). The team discovered that those at the attitudinal extremes – both strongly supportive and strongly anti-science – have very high self-belief in their own understanding, while those answering neutrally do not.

Psychologically, the team suggest, this makes sense: to hold a strong opinion you need to strongly believe in the correctness of your understanding of the basic facts. The current team could replicate the prior results finding that those most negative tend also not to have high textbook knowledge. By contrast, those more accepting of science both believe they understand it and scored well on the textbook fact (true/false) questions.

When it was thought that what mattered most for scientific literacy was scientific knowledge, science communication focused on passing information from scientists to the public. However, this approach may not be successful, and in some cases can backfire. The present work suggests that working to address the discrepancies between what people know and what they believe they know may be a better strategy.

Professor Anne Ferguson-Smith, President of the Genetics Society and co-author of the study comments, “Confronting negative attitudes towards science held by some people will likely involve deconstructing what they think they know about science and replacing it with more accurate understanding. This is quite challenging.”

Hurst concludes, “Why do some people hold strong attitudes to science whilst others are more neutral?  We find that strong attitudes, both for and against, are underpinned by strong self-confidence in knowledge about science.”

Reference: “People with more extreme attitudes towards science have self-confidence in their understanding of science, even if this is not justified” by Cristina Fonseca, Jonathan Pettitt, Alison Woollard, Adam Rutherford, Wendy Bickmore, Anne Ferguson-Smith and Laurence D. Hurst, 24 January 2023, PLOS Biology.
DOI: 10.1371/journal.pbio.3001915

The work was enabled by funding from The Genetics Society to the Chair of their Public Engagement committee (AW). No grant number specified. The funders had no role in study design, data collection and analysis, decision to publish, or preparation of the manuscript.

Delphine Perrault

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