Un maire français d’extrême droite insère des passeports pour chiens dans une répression canine
Les propriétaires de chiens du centre-ville de Béziers, dans le sud de la France, sont désormais tenus de fournir un échantillon de la salive de leurs animaux qui peut ensuite être utilisé pour punir ceux qui ne parviennent pas à récupérer leurs animaux.
Enfin, Robert Ménard, le maire d’extrême droite de Béziers, a proposé sa solution au problème vieillissant de l’anarchie canine dans la ville.
À compter du 16 juillet, les propriétaires de chiens du centre-ville devront prélever un échantillon de la salive de leur animal.
L’ADN recueilli ira ensuite dans la base de données du conseil local. Les fonctionnaires peuvent ensuite échantillonner tous les déchets jonchés autour de la ville et les retracer jusqu’aux chiens fautifs et à leurs propriétaires.
« Le procès de deux ans peut commencer maintenant », a déclaré Maynard Tell France Bleu Hérault dimanche, deux mois après son introduction Ordonnance à la sous-province qui n’a pas été contestée.
« Désormais, chaque animal devra avoir un passeport génétique », a-t-il déclaré. Les propriétaires qui ne pourraient pas fournir ce document seront passibles d’une amende de 38 €, s’ils ne prennent pas leur chien, la facture s’élèvera à 122 €.
Cependant, le tribunal a déterminé que la loi était limitée au centre-ville.
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