Tesla lance une mise à jour qui réduit l’intervention humaine de 33%
Tesla continue de travailler pour pouvoir justifier le nom de «pilote automatique». Certains pays aiment L’Allemagne empêche la société d’utiliser cette expression tant que le système n’est pas amélioré. Ces derniers jours, Tesla a commencé à promouvoir une nouvelle mise à jour de son logiciel, dans le cadre du programme bêta de conduite entièrement autonome. Selon son PDG, Elon Musk, cette mise à jour devrait déjà réduire d’un tiers l’intervention des conducteurs.
Cela fait moins de deux semaines que Tesla a proposé sa première version de sa fonctionnalité «Auto-conduite complète». Dans des articles précédents, nous avons déjà signalé que Tesla avait amassé une grande quantité de données pour améliorer son système. Le constructeur automobile a publié hier sa toute nouvelle mise à jour 2020.40.8.12 pour les utilisateurs éligibles à la version bêta. Ces utilisateurs privilégiés ont déclaré avoir pu profiter d’une conduite plus fluide grâce aux progrès de l’IA.
Nous mesurons cela principalement dans la probabilité d’intervention. Cette mise à jour a abordé plusieurs problèmes, entraînant peut-être environ 1/3 d’interventions en moins. La plupart des améliorations consistent à corriger des bugs stupides par rapport aux grands moments eureka. Vrai pour la plupart des versions bêta de mon expérience.
– Elon Musk (@elonmusk) 31 octobre 2020
Une mise à jour tous les 5 à 10 jours.
Comme l’explique Elon Musk via ce tweet, cette mise à jour devrait permettre au pilote de réduire ses interventions de 33%. Evidemment, ces mises à jour ne permettent pas encore une conduite totalement autonome, les utilisateurs doivent rester vigilants en gardant les mains sur le volant. Elon Musk satisfait des retours de cette première mise à jour, a annoncé que de nouvelles choses arriveront tous les 5 à 10 jours. Par conséquent, il a l’intention de déployer la version bêta de «Entièrement autonome» à plus grande échelle au cours de l’année 2020.
Elon Musk est un grand optimiste, il lui faut pour arriver à son niveau. Selon lui, le taux d’erreur n’atteindra jamais zéro. Cependant, il estime que plus la recherche avance, plus les risques diminueront et donc les craintes de dysfonctionnement avec elle.