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Microsoft affirme avoir franchi la première étape dans la création d’un ordinateur quantique fiable et fonctionnel

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(a) Quadripôle linéaire, qui est un dispositif simple pour effectuer la fusion. Les deux régions extérieures doivent être définies dans la phase topologique via TGP, tandis que la section médiane doit être dans la phase triviale. Il en résulte un appareil avec quatre MZM. (b) Quadrants à deux côtés, à partir desquels un épissage basé sur la mesure peut être effectué. Il y a 5 divisions topologiques. Le milieu (violet) est un lien cohérent utilisé pour relier la gauche et la droite du tétron. crédit: examen physique b (2023). DOI : 10.1103/PhysRevB.107.245423

Une équipe de chercheurs de Microsoft Quantum aurait franchi une première étape vers la création d’un ordinateur quantique fiable et fonctionnel. Dans leur article publié dans la revue examen physique ble groupe décrit le jalon et ses plans pour construire un ordinateur quantique fiable au cours des 25 prochaines années.

Des physiciens et des ingénieurs informaticiens travaillent à la construction d’un ordinateur quantique fiable et utile. Mais les taux d’erreur ont entravé ces efforts. Dans ce nouvel effort, l’équipe Microsoft suggère que le développement de l’ordinateur quantique suive une voie similaire à celle des ordinateurs conventionnels.

Au départ, les nouveaux concepts ont été suivis d’une série de mises à niveau matérielles qui ont conduit aux machines d’aujourd’hui. De même, ils suggèrent que si les méthodes existantes utilisées pour représenter les qubits logiques, telles que le vecteur de spin ou gatemon, ont été utiles comme dispositifs d’enseignement, aucune n’a été évolutive. Ils suggèrent qu’une nouvelle approche doit être trouvée qui permette l’expansion.

Ils ont maintenant signalé qu’ils avaient conçu une nouvelle façon de représenter un qubit logique avec une stabilité matérielle. On dit que l’appareil est capable d’induire une phase de la matière caractérisée par des modes de Majorana nuls – des types de fermions. Ils ont également signalé que ces dispositifs présentaient une perturbation suffisamment faible pour passer le protocole d’écart topologique, prouvant que la technologie est viable. Ils pensent qu’il s’agit d’un premier pas vers la création non seulement d’un ordinateur quantique, mais d’un supercalculateur quantique.

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Dans son annonce, Microsoft a également déclaré avoir créé une nouvelle métrique pour mesurer les performances des supercalculateurs quantiques : les opérations quantiques fiables par seconde (rQOPS), un nombre qui décrit le nombre d’opérations fiables qu’un ordinateur peut effectuer en une seconde. Ils suggèrent que pour qu’un appareil soit qualifié de supercalculateur quantique, son rQOPS doit être d’au moins un millionième de taille. Ils soulignent que de telles machines peuvent atteindre un milliard de rQOPS, ce qui les rend vraiment utiles.

Plus d’information:
Morteza Aghi et al., Dispositifs hybrides InAs-Al passant le protocole d’écart topologique, examen physique b (2023). DOI : 10.1103/PhysRevB.107.245423

Article de blog Microsoft : cloudblogs.microsoft.com/quantum… antum-supercomputer/

Informations sur la revue :
examen physique b


Cunégonde Lestrange

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