Les nouveaux engagements financiers de l’AGEC de la France interdisent les plastiques à usage unique
Alors que débute le Sommet international sur la pollution plastique, je partagerai certaines des conclusions auxquelles une équipe d’avocats français et américains est parvenue concernant les réponses très différentes de la France et des États-Unis face à la catastrophe des déchets plastiques dans les eaux de notre planète. Un article présentant ces conclusions est présenté en haut. J’y ai joué un petit rôle.
Une différence importante est que l’Union européenne, y compris la France, a déjà interdit de nombreux produits en plastique à usage unique et imposé des restrictions importantes sur la production de plastique, y compris des spécifications pour le plastique biodégradable.
La loi française anti-gaspillage pour une économie circulaire (loi AGEC) impose de nouvelles obligations financières aux fabricants de plastiques, de nouvelles interdictions des plastiques à usage unique et de nouveaux outils de contrôle. Parmi les produits interdits en vertu de l’AGEC figurent de nombreux produits contenant des microplastiques, des contenants de restauration rapide en polystyrène, des couverts de restauration rapide en plastique sur place, des jouets de restauration rapide en plastique, des emballages postaux en plastique, des bouteilles d’eau en plastique pour événements publics et certains matériaux d’emballage en plastique non recyclables.
Il va de soi que moins de plastique à usage unique signifie moins de plastique dans nos océans.
Des propositions similaires ont été faites au Congrès, mais aucune n’est devenue une loi fédérale. J’en dirai davantage sur notre réponse à ce problème mondial aux États-Unis la prochaine fois.
« conseil mondial pour la science et l’environnement (GCSE) et le Bureau de la Science et de la Technologie de l’Ambassade de France aux États-Unis et de l’Université de Long Island vous invitent à nous rejoindre pour un sommet international axé sur l’effort continu et l’opportunité pour les institutions de recherche et les universités de collaborer et de soutenir de longue date données à long terme, initiatives de recherche, ensembles de politiques exploitables et projets futurs qui améliorent la valeur du partage des connaissances. Le sommet réunira d’éminents scientifiques et dirigeants engagés dans la réduction de la pollution plastique aux niveaux local, national et mondial.
© 1994-2022 Mintz, Levin, Cohn, Ferris, Glovsky et Popeo, PC Tous droits réservés.Revue nationale de droit, volume XII, n° 95