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Le Parlement grec approuve l’accord sur les avions de combat Rafale avec la France

L’accord tant attendu entre la France et la Grèce pour l’achat d’avions de combat Rafale devrait être signé prochainement. Les législateurs grecs ont approuvé l’achat de 18 biréacteurs Dassault Rafale à la France pour 2,5 milliards d’euros (3,04 milliards de dollars).

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Les ministres de la Défense des deux pays signeront l’accord plus tard ce mois-ci. Le gouvernement grec a annoncé que la Grèce recevrait six nouveaux avions et 12 Rafale, les premiers lots étant attendus au cours du premier semestre.

La Grèce se joint à l’Inde, au Qatar et à l’Égypte pour acheter des avions de combat Rafale. Comme indiqué précédemment par EurAsian Times, environ 6 à 8 pilotes de l’armée de l’air se rendront en France pour s’entraîner et seront vus en Grèce d’ici la mi-2021.

Le chasseur multirôle bimoteur delta wings a été construit par la société française Dassault Aviation. L’avion de la génération 4.5 est capable d’effectuer des missions de supériorité aérienne, d’interception, de reconnaissance aérienne, de soutien au sol et de frappe profonde avec la capacité de lancer des missiles de croisière aérienne (ALCM).

Athènes envisage de renforcer ses capacités militaires dans un conflit qui fait rage avec la Turquie voisine sur les ressources énergétiques en Méditerranée. La France a offert un coup de main à la Grèce dans le conflit.

Le gouvernement conservateur du Premier ministre Kyriakos Mitsotakis a exprimé son intérêt pour investir dans les forces armées, augmenter le personnel, acquérir de nouvelles frégates, hélicoptères et drones, et moderniser sa flotte existante de chasseurs F-16.

Mitsotakis a déclaré aux médias que le parlement grec voterait sur un projet de loi élargissant les eaux territoriales occidentales de la Grèce dans la mer Ionienne à 12 milles marins contre six.

Athena a prétendu se réserver le droit en vertu du droit international à une limite maritime de 12 milles sur l’ensemble de son territoire. La loi susmentionnée n’affectera pas directement l’est et le sud de la mer Égée, car il existe des revendications contradictoires entre la Grèce et la Turquie.

La Turquie a averti qu’elle considérerait une telle réclamation en mer Égée comme une « cause de guerre » ou une cause de guerre, Reuters a rapporté. Au milieu de l’escalade des tensions et du conflit évité, les responsables des deux pays se rencontreront le 25 janvier pour des entretiens.


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