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Le mémorial de l’armée soviétique a été démantelé sans ordonnance du tribunal ni autre document existant

L’administration régionale de Sofia a cité un ancien ordre exigeant le démantèlement du mémorial de l’armée soviétique. Il n’existe actuellement aucune loi sur la base de laquelle des mesures ont été prises.

Cela ressort clairement de la décision publiée du tribunal administratif de Sofia, qui a décidé le 19 décembre dernier que le démantèlement devait être arrêté. Mais avant cela, les personnages avaient déjà été découpés et retirés du monument.

D’après le document de l’une des plaintes – « Debout BG », il est clair que l’administration régionale s’est référée dans ses actions à un ancien ordre de l’ingénieur en chef de Sofia Zdravko Zdravkov, qui ne concernait cependant que les panneaux de parement portant des inscriptions. sur le monument, écriture et « MAINTENANT ». L’ancien ordre a servi de justification pour ne pas émettre de nouvelle caution pour démonter également les maquettes du monument. Le tribunal a insisté sur le fait que cela n’était pas permis et que le démantèlement avait commencé sans aucune base légale ou légale.

Sur ordonnance du tribunal, tous les documents et correspondances échangés au sujet du monument, effectués par l’administration régionale et d’autres institutions, ont été retracés. La liste des décisions liées à la question commence par la décision du Conseil municipal métropolitain du 9 mars 2023 obligeant le maire de Sofia à demander le déplacement du monument. Dans cette décision, le gouverneur de la région doit prendre toutes les mesures nécessaires pour la mettre en œuvre. La mise en œuvre de la décision a commencé par une demande de changement du statut du mémorial de propriété publique de l’État à propriété privée de l’État. Des informations ont également été demandées à MK sur le statut du monument au regard de la loi sur le patrimoine culturel. Un protocole de découverte visant à clôturer le monument et à retirer les blocs brisés portant des inscriptions classées dangereuses a également été édicté par arrêté de l’architecte en chef en date de mars 2023.

Les problèmes de documentation ont commencé après que des experts ont été chargés d’évaluer les sculptures et reliefs en bronze. Il décrit leur état misérable et l’expert recommande de démonter les numéros et de les restaurer. Forte de l’expertise et des fonds alloués par le MC, l’administration régionale est intervenue sans juger nécessaire de délivrer un quelconque instrument pour démonter le monument. Seuls le plan de sécurité et les autres documents liés à la circulation et à la gestion des déchets ont été élaborés.

Les mesures de démantèlement du monument ne peuvent être justifiées par la décision SOS rendue en mars, qui n’ordonnait pas le démantèlement. L’ordre de l’architecte en chef de supprimer les inscriptions compromises ne peut pas non plus servir de base, car il ne s’agit pas de chiffres. Les procédures de coordination avec le Conseil des Beaux-Arts n’ont pas non plus été respectées. Étant donné que les actes de démantèlement et de découpage des chiffres ne sont pas fondés sur la loi ou la loi, ils sont sans fondement et doivent être arrêtés, c’est ce que le tribunal a conclu. Elle fera l’objet d’un recours auprès de l’administration régionale.

Astor Abel

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