Le magnat des mines de diamants Benny Steinmetz arrêté à Chypre
Le magnat des mines franco-israélien Benny Steinmetz a été arrêté à Chypre en vertu d’un mandat d’arrêt émis par la Roumanie. Steinmetz a été arrêté à son arrivée à l’aéroport de Larnaca le 31 août.
Un magnat du secteur minier est détenu pour avoir prétendument participé à un groupe tentant de le sécuriser illégalement. Droits fonciers en Roumanie. L’affaire remonte à plusieurs années et il a déjà été arrêté dans d’autres pays européens sur la base du même mandat d’arrêt, mais il a été acquitté.
Steinmetz est le propriétaire de BSG Resources (BSGR). L’entreprise fait l’objet d’une enquête dans plusieurs pays, dont les États-Unis, pour les allégations présumées. Violation de la loi sur les pratiques de corruption à l’étranger. L’entreprise nie ces allégations.
Steinmetz est également impliqué dans une autre affaire Une bataille juridique en Suisse Où il a été reconnu coupable de corruption. L’affaire concerne l’exploitation de gisements de minerai de fer en Guinée.
Autorités roumaines Steinmetz a été condamné Pour des accusations de fraude immobilière par contumace en 2020, pour lesquelles il a été condamné à cinq ans de prison. Un mandat d’arrêt européen a ensuite été émis contre lui. En mars 2022, les autorités grecques ont rejeté le mandat d’arrêt roumain. Tout comme les dirigeants italiens verdict contre mis en œuvre.
« Benny Steinmetz se félicite de l’opportunité de blanchir son nom dans un autre pays européen, contre la Roumanie, un pays connu pour son manque de respect des droits de l’homme », a déclaré le porte-parole de Steinmetz aux journalistes dans un communiqué.
ONG internationale Un témoignage universel Il avait précédemment accusé BSGR d’avoir soudoyé l’épouse du président guinéen pour sécuriser une partie du gisement de fer de Semandu. L’entreprise a nié ces accusations.
Steinmetz a été condamné à la prison en Suisse en janvier 2021 pour avoir offert un pot-de-vin afin de prendre le contrôle du gisement de minerai de fer de Semandu. Cour d’appel de Genève a rejeté son plaidoyer pour annuler la condamnation plus tôt cette année.
La police chypriote n’a fait aucun commentaire, comme c’est l’usage en matière de demande d’extradition.