Le banquier qui a démissionné plus que le bonus a 1,6 million de dollars fond
Un banquier parisien démissionne Mediobanca SpA Messier Maris & Associés a remporté 1,3 million d’euros (1,6 million de dollars) après avoir convaincu les juges qu’il avait été traité injustement par le magasin M&A.
Mais c’était en 2018.
La semaine dernière, un tribunal de Paris a finalisé un redressement coûteux qui a laissé Laurent Azote perdre tout sauf une fraction de son prix et même devoir à l’entreprise des milliers d’euros pour ne pas avoir travaillé dans le délai de trois mois.
La saga juridique met en évidence une clause française appelée « récompense d’acte », souvent utilisée par les banquiers et autres cols blancs pour se plaindre du comportement des employeurs si flagrant qu’ils ne peuvent tout simplement pas rester. En effet, les salariés peuvent démissionner en blâmant leurs supérieurs pour leur départ et ainsi percevoir des indemnités de licenciement abusif devant les tribunaux.
L’arrêt permet à un salarié de résilier un contrat de travail si l’employeur commet « des infractions suffisamment graves », selon les juges parisiens pointu dans leur jugement.
Ayant rejoint Messier Maris en 2011 pour gérer le segment télécoms, médias et technologie de la structure nouvellement créée, Azout a gagné environ 1,7 million d’euros sur quatre ans grâce à son programme de récompenses garanties. Le but des prix était de s’assurer que son salaire était suffisant parce qu’il a construit de nouveaux clients après son départ Lazard Ltée Et il a même commencé à collecter des bonus de « création » basés sur les performances.
Récompense garantie
Dans leur décision, les juges ont jugé la suppression progressive du bonus garanti justifiée étant donné qu’Azotte a reçu une prime de création de 1,1 million d’euros en 2015, contre moins de 200 000 € l’année précédente.
La cour d’appel de Paris a statué : « Il n’apparaît pas que les manquements de l’employeur aient été suffisamment graves pour empêcher la poursuite du contrat de travail.
L’homme de 43 ans a même été condamné par un arrêt de la cour d’appel de Paris la semaine dernière à payer 54 999,99 € à Messier Maris pour ne pas avoir travaillé dans le délai de préavis de trois mois.
Manuel Dambrin, l’avocat d’Azot, a déclaré que son client prévoyait de faire appel de la décision de la semaine dernière devant la Cour suprême de France. Messier Maris n’a pas répondu aux demandes de commentaires.
Le départ d’Azut en 2016 s’aligne sur les vols aller-retour réguliers de Messier Maris. Après plus d’une décennie de collaboration, les tensions entre les fondateurs Jean-Marie Messier et Eric Maris ont atteint leur paroxysme. Maris est parti en 2020, juste un an après que Mediobanca a repris la banque, au milieu des informations faisant état d’affrontements avec Messier au sujet des promotions du personnel et de sa présence à New York.
Laura Sculan a quitté le navire Il y a quelques mois pour rejoindre Tikehau Capital, Fadi Laham à gauche Capitale Macquarie En 2019 et François Guichot-Père – certains l’ont surnommée « Monsieur Restructuration » – Lazard revient en 2015.
Avec Messier désormais aux commandes, M&A a récemment fait les manchettes pour servir de ses conseillers financiers Veolia Environnement SA en quête de domination du rival français rue de Suez. Il y a deux mois, Messier Maris a obtenu une signature très médiatisée d’Hubert Brechez auprès de HSBC Holdings Plc.
Azout travaille actuellement chez Partenaires Cambon à Paris. Avant de s’y installer en 2016, il avait travaillé sur le processus de vente de la société de jeux en ligne Betclic et du service vidéo Dailymotion, selon sa biographie de Cambon.
Avec l’aide d’Alexander Rajbhandari
(Mises à jour avec un commentaire de l’avocat d’Azot dans le dixième paragraphe)