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La police canadienne renouvelle ses efforts pour arrêter le «prêtre Satan» pour avoir abusé d’enfants inuits | Canada

La police canadienne a déposé un nouvel acte d’accusation contre un « prêtre satanique » caché en France au milieu d’allégations selon lesquelles il aurait abusé sexuellement de plusieurs enfants inuits.

L’affaire contre Johannes Revoir, qui, selon les victimes, a échappé à la justice pendant des décennies, a fait l’objet d’une attention renouvelée cette semaine lorsqu’un dirigeant inuit canadien a demandé au pape d’intervenir personnellement lors d’une visite au Vatican d’une délégation de groupes autochtones.

Lors d’une rencontre privée avec le pape François lundi, Nathan Obed, le président inuit Taberet Kanatami, a demandé que Revoir revienne au Canada « pour être jugé pour les dommages qu’il a causés ».

Obaïd a appelé le pape à user de son « influence auprès des autorités compétentes » pour extrader Rivoire ou juger le prêtre en France.

La Gendarmerie royale du Canada a déclaré qu’un mandat d’arrêt à grande échelle avait été émis au Canada le mois dernier contre Revoir, 93 ans, qui vit maintenant à Lyon, en France.

Revoir, pasteur des Missionnaires Oblats de Marie Immaculée, a travaillé dans plusieurs communautés arctiques dans les années 1960 et 1970 avant de revenir en France en 1993.

Enoch Peter Ernik Parlez-en à APTN Nouvelles L’an dernier, son ami Marius Togelik a été l’une des victimes de Revoir. Tungilik s’est suicidé en 2012 à l’âge de 55 ans. Ses amis disent qu’il s’est fracturé à cause des abus dont il a été victime aux mains de Rivoire.

« [Marius] Ils ont bu et bu et bu. « Ce prêtre démoniaque l’a beaucoup poursuivi », a déclaré Ernik.

Il y aurait au moins cinq autres victimes.

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La police a porté trois accusations contre Revoir en 1998, mais il était déjà en France. Les accusations ont finalement été suspendues après que les autorités canadiennes ont estimé que la politique de la France de ne pas extrader les citoyens limiterait leur capacité à les traduire en justice.

La nouvelle accusation remonte à des allégations qui se sont produites entre 1974 et 1979. Il y a une interdiction de publication sur l’identité du plaignant.

Les Oblats de Marie Immaculée au Canada ont appelé Revoire à se rendre aux autorités et la Conférence des évêques catholiques du Canada a déclaré que « l’Église ne devrait pas se mettre en travers de leur chemin mais aider ceux qui ont été victimes dans la poursuite de la justice et de la guérison ».

Astor Abel

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